Fille de Minos et de Pasiphaé, Phèdre lutte en vain contre la passion qu'elle éprouve pour Hippolyte, le fils de Thésée dont elle est l'épouse. Épuisée et culpabilisée par ses sentiments qu'elle ne contrôle pas, elle cherche par tous les moyens à l'éloigner d'elle. Ce beau-fils, adulé et rejeté, a l'intention de quitter Trézène pour partir à la recherche de son père disparu, fuyant aussi par là son propre amour pour Aricie, soeur des Pallantides, clan ennemi. La mort que Phèdre implore pour expurger son crime sera retardée par l'annonce du retour de Thésée, après qu'elle a dévoilé ses sentiments à Hippolyte. Maudissant son fils qui l'aurait outragé, Thésée apprend trop tard son innocence - de la bouche même de Phèdre qui meurt à ses pieds.
En l'absence de leurs pères partis en voyage, Octave, fils d'Argante ainsi que Léandre, fils de Géronte, se sont épris l'un de Hyacinte, jeune fille pauvre et de naissance inconnue qu'il vient d'épouser, le second de la « jeune Égyptienne » Zerbinette. Au retour d'Argante, Octave, très inquiet de la réaction paternelle à l'annonce de son union, implore l'aide de Scapin, valet de Léandre, un « habile ouvrier de ressorts et d'intrigues »...
La pièce donne à suivre les deux dernières journées de la vie de Dom Juan Tenorio, libertin grand amateur de femmes, flanqué tout au long des cinq actes de son fidèle valet Sganarelle, couard, gourmand et amateur de disputes intellectuelles. Provocateur impénitent, Dom Juan n'échappera pas à la vengeance du Ciel, qui le châtiera par le bras d'une statue de pierre. Pièce où se mêlent tous les registres, du pur comique au sérieux, voire au tragique, elle est accueillie avec enthousiasme par le public parisien, mais fait l'objet d'une violente attaque au lendemain de sa création et ne sera jamais reprise ni imprimée du vivant de son auteur. Délaissée jusqu'au milieu du XIXème siècle au profit de la version en vers que la veuve et les compagnons de Molière avaient commandée à Thomas Corneille en 1676, elle fut peu représentée jusqu'à ce qu'en 1947 et 1953, Louis Jouvet puis Jean Vilar la fassent redécouvrir au grand public. Elle est aujourd'hui considérée, à l'égal du Tartuffe et du Misanthrope, comme l'un des chefs-d'uvre de Molière et de la dramaturgie classique française
La pièce raconte l'histoire d'une famille, où la mère (Philaminte), la belle-sur de cette dernière (Bélise) et une de ses deux filles (Armande) sont sous l'emprise d'un faux savant (Trissotin), qui les subjugue de ses poèmes et savoirs pédants mais s'intéresse plus à l'argent de la famille qu'à l'érudition des trois femmes. Cette situation désole le reste de la famille, à savoir le mari de Philaminte (Chrysale), le frère de ce dernier (Ariste) et la cadette des filles (Henriette) ; mais ces derniers ne s'opposent pas frontalement aux « chimères » des autres femmes de la famille. Le génie comique de Molière n'a pas pris une ride. Cet auteur sait corriger les murs par le rire, pointer les travers de nos contemporains avec justesse, et les thèmes de ses uvres n'ont pas pris une ride, quelques centaines d'années après leur création.
La fille et la nièce d'un bon bourgeois, nommé M. Gorgibus, sont deux pédantes qui ne rêvent que de se voir entourées de beaux esprits, gens à la mode qui ne parlent que dans un style prétentieux ; elles ont changé leurs noms de Madelon et de Cathos pour les noms plus sonores d'Aminte et de Polixène et elles se posent en précieuses. Gorgibus, qui, avant tout, est un homme de gros bon sens, veut marier ces jeunes filles avec deux jeunes gens de bonne maison, nommés La Orange et du Croisy. Ces jeunes gens s'expriment avec simplicité et naturel, ce qui ne les recommande pas auprès de Cathos et de Madelon qui les éconduisent avec mépris. Les deux gentilshommes jurent de se venger et envoient chez elles, à cet effet, deux valets impudents, qui se donnent pour des hommes de qualité.
Arnolphe prétend qu'une femme ne peut être sage et vertueuse qu'autant qu'elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde d'un valet et d'une servante aussi niais qu'elle. La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de l'isolement où on la retient. S'étant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeune homme qui la salue ; elle, qui ignore jusqu'aux plus simples convenances, rend le salut qu'on lui fait et se laisse bientôt prendre au bel air et aux belles paroles du jeune Horace. On rit du supplice où tes confidences d'Horace mettent le pauvre Arnolphe qui finit par faire pitié, tant il est puni de son système d'éducation. Le génie comique de Molière n'a pas pris une ride. Cet auteur sait corriger les murs par le rire, pointer les travers de nos contemporains avec justesse, et les thèmes de ses uvres n'ont pas pris une ride, quelques centaines d'années après leur création.
Deep in the jungles of India, nature lived as the Creator intended. Yes, there were those who were predator and those who were prey. But balance was maintained, and the symmetry of Life's plan would take your breath away.
Then Man came to the jungle.
Tiggra, a white Royal Bengal Tiger, and his family must find a way to survive in a world where human and animal fight over dwindling natural resources. But this is a world where Man is King of the Beasts and the gun of the Killer rules over all.
In the end, will the tiger survive? Will anyone?
The Great Slaughter
from the novels by Lord Steven
A full cast audio drama, featuring music and songs by Simon Smith, Jared Cowing, and Joe Harrison.
Winner of the 2008 Tony Award for Best Play, Tracy Letts' darkly comic epic offers a painfully funny look at a family struggling in the desolate heart of America.
An L.A. Theatre Works full-cast recording, featuring members of the original Steppenwolf Theatre and Broadway productions: Tara Lynne Barr, Shannon Cochran, Deanna Dunagan (Tony Award®, Best Leading Actress), Kimberly Guerrero, Francis Guinan, Scott Jaeck, Ron Livingston, Robert Maffia, Mariann Mayberry, Rondi Reed (Tony Award®, Best Featured Actress), and David Warshofsky.
Directed by Bart DeLorenzo. Recorded by L.A. Thetare Works before a live audience.
Did a supernatural hound cause the death of Sir Charles Baskerville? Or is the famous Baskerville curse simply a cover for more sinister goings on? The redoubtable Sherlock Holmes and his sidekick Dr. Watson face danger in an old mansion and on the moors in this rollicking stage adaptation of Doyle’s classic adventure.
An L.A. Theatre Works full-cast performance featuring: Geoffrey Arend, Wilson Bethel, Seamus Dever, Sarah Drew, Henri Lubatti, James Marsters, Christopher Neame, Moira Quirk, and Darren Richardson.
Includes a converation with actors Seamus Deaver (Holmes), Geoffrey Arend (Watson), and author Leslie S. Klinger, the New York Times best-selling editor of the Edgar®-winning “New Annotated Sherlock Holmes” and the critically-acclaimed “New Annotated Dracula.”
Directed by Alexis Jacknow. Recorded by L.A. Theatre Works before a live audience.
Sie ist die Frau ohne Gesicht. Manche beleidigen sie, manche ignorieren sie. Manche geben etwas. Manche nur wegen des Hundes an ihrer Seite. Sie ist eine Pennerin, die genau weiß, wie die Straßen von London riechen. Doch Diese abgeklärte Lady Bag war nicht immer eine Baglady. Als eine ganz normale Frau geriet sie in die älteste Falle der Welt und wurde ruiniert. Jetzt will sie nichts mehr, nur die Gesellschaft ihrer Hündin und ihren gewohnten Rotweinpegel. Bis eines Tages ihr persönlicher Dämon ihren Weg kreuzt - mit finsteren Absichten, wie sie aus Erfahrung weiß.
Statt sich zu verstecken, beschließt sie ihn zu beschatten: Sie möchte wissen, wo er wohnt. Eine Entscheidung, die schwerwiegende Folgen hat. Sie erwacht mit zertretenem Kopf in einem Kranken¬hausbett und wird mit einem fremden Namen angesprochen. Anscheinend hält man sie für eine gewisse Natalie Munrow, deren Handtasche sie bei sich hat. Bei erster Gelegenheit nimmt sie Reißaus und taucht ab. Was allerdings gar nicht so leicht ist, wenn man auf der Straße lebt und einem aus allen Zeitungen das eigene lädierte Gesicht entgegenblickt! Dann stellt sich heraus, dass die wahre Natalie Munrow ermordet wurde ...
Zornig, schlau, verkorkst, tragisch, witzig und (meistens) ehrlich: Die rotweingetränkte Schilderung der Baglady ist ein wilder, temporeicher Kriminalroman, ein gestochen scharfes Großstadtporträt und ein literarischer Kommentar zur Lage, insbesondere seit der Krise.
In Romeo and Juliet Shakespeare creates a violent world in which two young people fall in love. It is not simply that their families disapprove; the Montagues and the Capulets are engaged in a blood feud. This play, set in an extraordinary world, has become the quintessential story of young love.
In 1603, James VI of Scotland ascended the English throne, becoming James I of England. London was alive with an interest in all things Scottish, and Shakespeare turned to Scottish history for material. He found a spectacle of violence and stories of traitors advised by witches and wizards, echoing James's belief in a connection between treason and witchcraft. In depicting a man who murders to become king, Macbeth teases us with huge questions. Is Macbeth tempted by fate, or by his or his wife's ambition? Why does their success turn to ashes?
